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L’identification. Pour une introduction Michel Neyraut
Michel Neyraut, Rfp 48(2) : 509-514, 1984.
« Peut-on imaginer un monde sans identification ? » Tel était le thème de l’exposé oral de cette introduction. Il avait pour but de dessiner en négatif la place de l’identification. -
Apprendre l’incertitude ? de Monique Cournut-Janin
Le thème choisi m’avait d’emblée séduite. Je l’avais d’ailleurs, en y pensant, déformé : il était devenu pour moi : « Penser l’incertitude ».
Peut-être ce travail se colorera-t-il de ce trouble de mémoire, et de l’incertitude de pensée qui fut donc la mienne jusqu’à ce qu’il y a peu je prenne connaissance du texte de Florence Bégoin. -
Hystérie et états limites : chiasme
Green A. (2000). Hystérie et états limites: chiasme. Nouvelles perspectives.
Dans A. Le Guen, A. Anargyros, C. Janin (dir), Hystérie : 139-162. Paris, Puf.
Un chiasme est un croisement, le terme s’appliquant aussi bien à des figures de rhétorique qu’à des formations anatomiques. Le mot de « chiasme », cependant, sous-tend la pensée d’un échange de directions opposées là où, a priori, onpenserait à un parallélisme. -
Processus culturel et sublimation
Article de Jean-Luc Donnet paru dans la RFP 62(4) : 1053-1067, 1998.
Cette lecture prolonge mon travail sur le Surmoi freudien, et aussi le colloque de Deauville 1992 consacré à Malaise… Les circonstances ne m’ont pas permis de prendre en compte les contributions à ce colloque parues en 1993 (RFP, 4). -
L’art d’accommoder les restes
Article de Marie-Lise Roux paru dans la RFP 61(4): 1121-1123, 1997.
La psychanalyse, au fond, s’apparente tout à fait au jeu de billard : deux boules se rencontrent et chacune d’elles va ensuite son chemin, modifié pour chacune.
La rencontre peut être brutale, inconsidérée, et pourtant aboutir à un trajet réussi. Elle peut aussi être douce, ou trop molle et n’être suivie que d’une nouvelle stagnation. -
Les sources pulsionnelles de la négativité
Article de Benno Rosenberg, paru dans « Le négatif. Travail et pensée » (1995), pp. 187-197. L’esprit du temps (Collection Perspectives psychanalytiques).
Je propose quelques réflexions personnelles sur les sources pulsionnelles de la négativité, négativité voulant dire la forme la plus originaire et la plus générale de ce qui devient la verneinung, la négation, décrite par Freud. -
La haine des origines et son ombre portée
Article de Liliane Abensour, « La haine des origines » (extrait p. 64-68), paru dans La haine : haine de soi, haine de l’autre, haine dans la culture (2005), sous la direction d’Alain Fine, Félicie Nayrou, Georges Pragier. Monographies et débats de psychanalyse : 59-71. Paris, Puf.
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L’objet de la psychose
Article de Raymond Cahn (extrait), paru dans la Revue française de psychanalyse 46 (6): 1107-1132, 1982.
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La grande énigme du deuil
dépression et mélancolie
le beau objetArticle de Pierre Fedida, paru dans la RFP 40 (5-6) : 1111-1118, 1976.
Dans un texte intitulé Vergiinglichkeit, écrit en vue d’un volume commémoratif à la demande de la Société Goethe deBerlin, Freud accueille l’évidence commune du deuil pour s’en étonner. « Le deuil à la perte de quelque chose que nous avons aimé et admiré apparaît si naturel au profane qu’il le tient pour évident par soi-même. -
Le temps du désespoir
Texte de René Roussillon, extrait de « Agonie et désespoir dans le transfert paradoxal », publié dans André J. (dir.) Le temps du désespoir : 67-96. Paris, Puf, 2002.